Oulà!
Ca fait bien des années lumière que je n'ai pas utilisé un truc pareil (je sais, je sais, ce n'est pas une unité de temps, c'était juste une image).
A l'époque, j'avais utilisé la chose pour compenser les écarts de luminosité entre ciel et paysage, particulièrement par temps gris (ciel très clair, paysage très sombre).
J'ai renoncé il y a un moment à l'utiliser car, déjà que c'est long de prendre des photos, si en plus il faut monter/démonter le porte filtre, on n'en sort plus. En plus, d'abord en négatif et maintenant en numérique, les négatifs, les papiers et maintenant les logiciels ont fait des progrès tels que les écarts de jadis entre ciel et paysage ne sont plus trop un problème.

Pour répondre à la question, toutefois, je faisais la mesure de la lumière sans filtre sur la zone de la scène destinée à être couverte par la partie non "colorée" du filtre. La position dans le porte filtre importe peu. Je crois que plus c'est près de l'objectif et plus c'est facile (enfin, moins c'est difficile...) à positionner mais c'est tout. Pour le diaphragme, à régler en fonction de l'exposition et de la scène, pas du filtre.
Pour ce qui est de la mesure d'exposition, à l'époque je n'avais qu'une mesure centrale. Aujourd'hui, sans doute que, filtre en place, une mesure évaluative fait l'affaire (à condition de la faire une fois filtre en place et scène correctement cadrée) et l'intérêt du numérique est de pouvoir contrôler directement.

Bon courage avec ce dispositif (d'ailleurs, j'ignorais qu'il existait encore!).

PS. C'est évidemment mieux avec un trépied, pour le cadrage, je veux dire.