Merci encore pour ces somptueux développements, je ne m'attendais pas à tant en lançant mon petit fil


Je vais essayer de reformuler, non pour faire mieux que toi, mais pour m'assurer que j'ai bien compris :

Si on est en manuel, on décide de tout, par définition.
A partir du moment ou fait tourner ne serait-ce qu'un seul automatisme, eh bien... On n'est plus le seul décideur !
D'où les nombreuses manipulations que tu mets en scène : à chaque changement de la scène, l'automate mouline, et le photographe doit à chaque fois se repositionner par rapport à l'automate... Ou pas.
Alors que bien sûr, tant qu'on reste en manuel, aucun automate ne tourne, et les paramètres figés par le photographe lors de son règlage initial restent figés, et pour cause... A moins bien entendu qu'il ne change d'avis.

Cela amène fatalement à s'interroger sur ce que tu as appelé le "trio correct".
Comme tu le dis fort bien, il n'y a de sur- ou de sous-exposition que par rapport à ce "trio correct".
Qu'on me comprenne bien : je n'imagine pas qu'il y ait un trio idéal, ni parfait. Mais l'automate, lui, il optimise bien quelque chose ? Quelle est cette quantité qu'il optimise, et qu'on cherche plus ou moins laborieusement, quand on est débutant ?