en septembre sort un dos à 60 millions de pixels.
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Pour ceux qui se pose la question sur la différence de résolution "film argentique vs capteur numérique" : faites simplement l'essai de prendre une photo sur un film argentique bien fin (genre Fuji Velvia) puis avec le même objectif d'en prendre une autre à cadrage identique avec un DSLR de simplement 8 ou 10 Mégapixels et ensuite, il suffit de comparer... c'est vraiment étonnant comme résultat :D
Oui, sauf que la comparaison n'est pas si simple que ça à faire. Tous les auteurs sont à peu près d'accord pour admettre que le cercle de confusion acceptable pour APSc de 10Mpx est de l'ordre de 18µm et est de 25 à 30µm pour l'argentique 24x36. La résolution de l'APSc est donc potentiellement supérieure. Seule une plus grande surface de capteur ou de pellicule donne un avantage significatif, mais pas une augmentation de la densité de pixels. (J'ai vaguement l'impression de me répéter :D)
Moi aussi je vais me répéter :) car une comparaison directe "film vs capteur" a au moins le mérite de mettre en évidence les différences qui peuvent exister entre ces technologies et cela, c'est visible pour tout à chacun... comme dirait Saint Thomas :D
Pour comparer, ils nous l'avaient bien dit : " faites des photos" ! Une image vaut 10 000 mots... alors, 2 pour comparer film et digital, pensez donc ...
A chacun son avis... mais perso, après 25 années d'argentique je ne reviendrai pas en arrière surtout à format de capteur/film identique ;)
C'est pourtant évident : le numérique bien sur... mais en faisant bien attention aux caractéristiques du capteur (entre autre) :D
po bien de botter en touche ;)
Hé, hé... c'est ce que l'on appelle "l'expérience" et c'est très formateur... notamment pour les choix futurs ;)
:ranting2:
Entre un argentique et un numerique ca donnerait quoi comme difference, en quoi le numerique que tu as choisi en fonction de ton experience fait que tu l'a choisi et pas de continuer en argentique.
;)
C'est le diamètre des détails d'une photo que l'on considère comme les plus petits enregistrables. C'est ce qui est à la base des calculs de profondeur de champ. Des détails plus petits peuvent être enregistrés par la pellicule ou le capteur, mais sur le tirage final, l'oeil ne les distinguera "quasiment" pas des détails plus petits que la taille du cercle ce confusion. Evidemment le "quasiment" laisse de la place à des différences d'appréciation...
Dans la pellicule argentique, il y a un phénomène "vicieux" qui fait qu'on ne peut pas utiliser tout le potentiel de définition de ce support, c'est la diffusion de la lumière dans la pellicule elle même : Une tache très lumineuse de 5µm va en fait impressionner une surface beaucoup plus grande de la pellicule (20 ou 30 µm) La résolution dépend donc du contraste et de l'intensité lumineuse. Le numérique est moins sensible à cet effet.
Pour n@ture, je ne suis toujours pas sûr de ce qu'il préfère ! Ce qui est sûr, c'est que dans les expositions photo d'il y a quelques années, les photos prises en numérique se voyaient du premier coup d'oeil, et pas à leur avantage (color franging, saturation des hautes lumières, vilaine granulation, ...), mais ce n'est plus vrai maintenant.