Merci pour vos réponses. Comme je n’ai peut-être pas été assez clair, je précise ma question :
Les sources lumineuses (soleil, éclairage, réflections diverses,…) émettent un flux lumineux, en partie en direction du sujet photographié.
Le sujet est donc soumis à un éclairement qui correspond au flux reçu (pour moi c’est la lumière incidente). Une partie du flux lumineux reçu est réfléchit par le sujet (18% pour un sujet en gris neutre, 80% ou plus pour de la neige par exemple, 5% peut-être pour un sujet foncé – forêt par exemple). C’est pour moi la lumière réfléchie.
D’après ce que je croyais avoir compris, c’est une partie de cette lumière réfléchie qui vient imprimer le capteur. Pour que le capteur soit suffisamment exposé, il faut par ailleurs qu’il soit soumis à un flux lumineux minimum moyen sur sa surface (dépend de sa sensibilité – ISO) suffisant.
Donc si un sujet reçoit un flux lumineux par unité de surface F1, qu’il en réfléchit une quantité F2 vers l’appareil, dès le moment ou on arrive à estimer F2 (via le posemètre de l’appareil – qui pour moi mesure bien exactement F2), quel est l’intérêt de remonter à F1 en l’estimant à l’aide de l’approximation des 18% (F1 = F2/0.18) ou en corrigeant cette estimation en fonction du type de sujet ???
Je comprendrais bien le truc si c’est le flux lumineux émis par la source lumineuse qui vient imprimer le capteur mais ce n’est quand même pas le cas si ?

Merci pour votre patience :rolleyes: