Il faut garder à l'esprit le concept même du retour au format RAW.
Depuis début de l'image numérique, la procédure courante est l'usage d'une image "finie" dans le boitier et disponible en tiff, jpeg...
Le photographe n'avait le choix que de la réédition dans un logiciel comme photoshop sans possibilité d'influer sur le processus de développement de l'appareil.

Aujourd'hui, l'accès au RAW, fichier natif, (je le rappelle différent pour chaque appareil. Un raw de 1D, n'est pas un raw de 5D) permet de revenir à l'image et de redévelopper l'image selon ses propres critères. Avec un peu de pratique, on peut faire mieux que l'appareil pour une raison simple: seul le photographe sait quelle image il veut faire.