Personnellement je shoote en manuel, et je parie plus sur l'expérience acquise que sur une cellule dont je sais qu'elle peut être utile dans certains contextes mais qui me serait totalement inutile pour shooter des oiseaux qui se baladent sur des étangs qui présentent des parties au soleil, d'autres en clair obscur et d'autres encore dans l'ombre, autant de conditions de lumière qui se trouvent sur l'étang et pas identique à celle qui se trouve à l'endroit d'où je shoote... Mon expérience c'est de faire confiance au boitier dans certaines conditions de lumière et de sous exposer plus ou moins dans certaines autres pour éviter de cramer les parties blanches des oiseaux. Pour la neige, c'est pareil, c'est de l'expérience, selon qu'il fait soleil ou que le ciel est nuageux. L'usage de la lumière incidente se prête bien au portrait et au paysage parce que le sujet ne se déplace pas. La lumière incidente est intéressante je ne le nie pas pas, mais pas utilisable dans tous les contextes, de même que le spot metering peut trouver son intérêt dans des contextes de paysage présentant de fortes variations de lumières (je ne vais pas me déplacer avec ma sonde pour mesurer la lumière incidente sur des kilomètres de paysage...). Et puis avec les mirrorless, l'exposition est visible dans le viseur avant de déclencher, c'est ce que les anglais appellent un game changer. Bref, chacun fait avec les outils qui le rassurent, mais rien n'est universel sauf celui qui clique, et personnellement je préfère éduquer ce dernier