C'est cool je recréte vraiment pas mon achat. 40D le top pour un prix somme toute résonnable.
Version imprimable
C'est cool je recréte vraiment pas mon achat. 40D le top pour un prix somme toute résonnable.
Le manuel de votre boitier explique en général ( 5D : page 160 ) (350D page 153) ...
court extrait de la page en guise d'exemple : "la mémorisation d'exposition auto s'effectue sur le collimateur autofocus sélectionné"...
Sont ainsi détaillées: 8 possibilités pour le 5D; 6 pour le 350D .
oui et non : la mémorisation de l'expo sur un collimateur périphérique n'est possible que dans le mode de mesure évaluative (sauf pour les boîtiers de la série 1).
dans les autres modes de mesure (sélective, spot et moyenne pondérée au centre) la mémorisation de l'expo se fait UNIQUEMENT sur le collimateur central (c'est écrit dans la notice et c'est tout à fait logique).
Bonjour,
> Perso, les modes d'emplois expliquent très mal sur le sujet :
=> Au début, on vous dit que la lumière est mesurée suivant un nombre de points réparti sur la visée en fonction du mode de mesure choisi et ce sans nous parler du tout des collimateurs...
=> Et voici que ceux-ci font leurs entrées dans la scène lorsque l'on vous dit que si vous vous trouvez en mode de mesure évaluative & que vous avez placé le sélecteur de l'objectif MF/AF en position autofocus(AF) soit automatique que le mode de mesure se fait à l'endroit du collimateur sélectionné (alors on ne sait pas si le terme "sélectionné" veut dire par nos soins ou bien par l'appareil lorsque nous choisissons la sélection automatique des collimateurs(tous les collimateurs clignotent en même temps correspond à la sélection automatique des collimateurs par l'appareil, canon eos1100D)
Le manuel n'est donc vraiment pas précis sur le sujet.
C'est ce qui embrouille l'esprit, car le collimateur son rôle est d'effectuer une mise au point et qu'à propos de la lumière, on ne sait pas ce qui mesure la lumière pour pouvoir exposer correctement, est-ce que ce sont les collimateurs qui font aussi ce travail, ou bien des capteurs/cellules indépendants ?
De tout ce que j'ai pu lire, personne n'est d'accord sauf peut-être quelques uns qui ont proposé l'expérience de la bougie, je ne sais pas ce qu'il en ressort exactement ?
Merci pour votre aide
Citation:
Envoyé par Administration EOS-Numérique
C'est pourtant très clairement écrit dans le manuel. En évaluative le collimateur sélectionné (Manuellement) ou tous les collimateurs selectionnés (Automatiquement) pondère(nt) la mesure.
Fait le test en selectionnant un collimateur en visant une zone ou il y a un truc foncé dans un coin et un truc lumineux dans un autre. Tu passe de l'un a l'autre et tu verras ta mesure changer ...
Le bloc AF est localisé sous la cage reflex. La bloc cellule mesurant l'exposition se trouve derrière le prisme de la visée, au-dessus de l'oculaire. L'autofocus et la cellule d'exposition sont distincts et autonomes. Les collimateurs AF n'ont aucune incidence sur l'exposition.
Si tu vises un objet lumineux dans la pièce et que tu choisis un collimateur(manuel) dans ton viseur qui se situe "sur ton objet lumineux" et que tu es bien en autofocus, tu vas obtenir une exposition donnée. Tu recommences la même opération mais avec un autre objet qui cette fois-ci est sombre, tu obtiendras une autre valeur d'expo selon toi...Dans ce cas, je peux dire que ton expérience sera juste si effectivement les valeurs d'expo changent de façon opposés et confirmera que c'est bien la luminosité de l'objet visé par le collimateur sélectionné qui a influencé les valeurs d'expo...Mais dans le cas d'un choix automatique du collimateur, je ne suis pas d'accord avec toi car qui te dis que le collimateur sélectionné par l'appareil sera celui positionné sur l'objet visé, peut-être que l'appareil décidera de faire sa mise au point autre part que sur l'objet...Donc histoire de détail mais il est important dans le cas de ton expérience car si c'est ce qui se passe, tu ne pourras pas dire que c'est à cause du collimateur puisqu'il n'aura pas choisi de faire la mise au point sur l'objet convoité car tu ne sais jamais en automatique quel collimateur sera privilégié par l'appareil...Donc si en sélection automatique du collimateur, l'appareil décide que cela soit celui qui est positionné sur ton objet, ok...
Mais ma question n'était pas véritablement là... On nous parle de collimateurs, ceux-ci servent à faire la mise au point et la mesure d'exposition sont faites par des cellules...Donc quand on nous dit qu'en mode évaluative et en autofocus, la mesure d'expo sera faite au niveau du collimateur sélectionné, dois-je comprendre que ce sont les cellules d'expositions situés près le collimateur sélectionné qui feront la mesure de la lumière ? Car il me semble que ce n'est pas le collimateur qui mesure la lumière ? On nous a fait le lien collimateur-mode de mesure alors qu'on nous dit que la lumière est mesurée suivant des points répartis sur l'image à l'aide de cellules (les cellules ce ne sont pas les collimateurs à ce que je sache)...Donc après, on nous sort que les mesures d'expositions sont réalisés au niveau du collimateur sélectionné(c'est là où le gars se dit mais qu'est-ce que c'est que cette histoire à dormir debout, maintenant on me renvoit au collimateur mais qu'est-ce qu'il vient foutre-là car je sais que ce sont des cellules qui mesurent la lumière et non le collimateur et pourtant on me dit qu'elles sont mesurées au niveau du collimateur, j'y comprends rien)...
> Donc c'est pour cela que je disais plus haut...Est-ce qu'il s'agit des cellules situés près le collimateur qui vont faire la mesure d'expo ?? Merci
J'ai pourtant essayé d'être clair ...D'ailleurs d'où le titre : lien mode de mesure / collimateur ??? Je viens de voir une réponse à 17h...et des brouettes qui dit que les collimateurs af n'ont aucune incidence sur ceux de l'exposition
Le bloc AF est localisé sous la cage reflex et le bloc cellule mesurant l'exposition se trouve derrière le prisme de visée, au dessus de l'oculaire.
Aurais-tu un schéma svp ? Comme on dit, un dessin vaut mieux qu'un long discours, merci par avance.
Merci pour l'aide, je viens de trouver un schéma sur le site de Pierre Toscani photographe montagne où il nous montre où se trouve le bloc AF appelé aussi module de télémétrie et effectivement on le voit dans le bas de la cage réflex mais c'est dommage je n'ai pas trouvé de schéma permettant de visualiser le bloc cellules qui permet de mesurer la lumière. Silver dot m'apprend que celui-ci se trouve derrière le prisme de visée, au-dessus de l'oculaire, j'aurai souhaité pouvoir le visualiser afin d mieux me rendre compte...
Donc ok, silver dot, tous deux sont indépendants et autonome du point de vue de leurs fonctionnement intrinsèque mais pourtant il nous est bien dit qu'en mode "évaluative" la mesure de la lumière est effectué sur le collimateur sélectionné (d'après certains post, "sélectionné" concerne aussi bien la sélection automatique du collimateur que manuel. Voilà, merci pour votre apport d'info
Cordialement
:Lighten: Peut-être voici la lumière :
=> Schéma animé qui nous montre le module de télémétrie (bloc AF) sur le site de Pierre Toscani, photographe de montagne.
http://www.pierretoscani.com/images/...-16%20anim.swf
Voilà, j'espère que cela aidera beaucoup de gens qui comme moi ont eu du mal avec cette histoire et leur permettront de se faire une opinion et que l'on puisse en retirer une idée unique de cet imbroglio.
Pouvez-vous me donner s'il vous plaît l'autre nom que l'on donne aux cellules de mesures de la lumière comme pour le bloc AF=> module de télémétrie
qui me permettrait peut-être + facilement de trouver un schéma explicatif.
Aussi aimerai-je savoir si :
mode évaluative + collimateur central sélectionné
=
mode spot
???
Je crois qu'il y a une petite confusion là : en mesure évaluative, l'exposition n'est pas faite SUR le collimateur sélectionné mais PONDEREE par la mesure sur le collimateur sélectionné. Cela signifie que cette mesure prend plus d'importance que les autres, mais pas que les autres n'ont pas d'importance !
Bsr,
Ah oui, pondéré par le collimateur sélectionné et non réalisée sur le collimateur sélectionné ce qui change absolument tout...Ok donc la mesure d'exposition donnera + d'importance au niveau du collimateur sélectionné sans pour autant délaisser les autres, ce que vous appelez "pondéré" d'ailleurs...Merci, là j'y vois + clair déjà
;-)
Bonjour,
> Je me fais peut-être toujours un peu embêtant mais voilà, merci à Diakopes pour son éclaircissement et justement par rapport à cet éclaircissement, il m'est donc venu cette nouvelle confrontation :
Est-ce que cette fois-ci : Mode mesure moyenne à pondéré central
=
Mode mesure évaluative+collimateur central sélectionné
D'après ce que tu m'as dit Diakopes par rapport au mode de mesure évaluative et sélection d'un collimateur sélectionné, si j'utilise le collimateur central du mode évaluative, ne me retrouverai-je pas dans le cas de figure du mode de mesure moyenne avec une pondération centrale justement, on accorde une importance au centre de l'image sans pour autant délaisser le reste de l'image.
Mais comme je sais que si tous ces systèmes ont été crée, c'est qu'il doit y avoir forcément différence entre eux, alors pour mon dernier exemple cela semble correspondre dans l'égalité présentée et pourtant il y a bien quelque chose qui font qu'ils n'ont aucun points communs entre eux, pourriez-vous m'indiquer où se trouver l'erratum ?
Cordialement
La surface prise en compte varie entre les modes de mesures.
http://img38.imageshack.us/img38/2738/mesurec.jpg
Sur un éclairage uniforme de la cible la différence sera infime. La différence se jouera sur des lumières complexes.
Selon le besoin on peut utilser un spot par exemple pour mesurer précisement une zone de lumière étroite.
Par exemple la le visage :
https://www.eos-numerique.com/maphot.../217948607.jpg
En mesure sélective la surface mesurée aurait put être trop large et la mesure faussé par une zone sombre (Donc photo un poil surex)
L'évalutative doit être utilisé en fait lorsque l'on utilise tous les collimateurs, elle permet d'avoir un ajustement par rapport au collimateur.
Après en collimateur centrale c'est une question de pondération plus ou moins forte par le nombre de zone utilisé et la surface utilisé pour le calcul de la lumlière
Tu parles ici du mode évaluative avec collimateur central sélectionné, c'est une question de pondération + ou - forte en fonction du nombre de zones utilisées et de la surface utilisée pour calculer l'exposition ?Citation:
Après en collimateur centrale c'est une question de pondération plus ou moins forte par le nombre de zone utilisé et la surface utilisé pour le calcul de la lumlière
L'évaluative est en gros une selective mais utilisable par tous les collimateurs. Le fait d'avoir des 2 permet de faire une mesure centrale sans tenir compte du collimateur. Dans le cas par exemple ou tu mémorise ton expo sur un endroit avec l* et tu utilise un collimateur excentré pour faire la map (Un visage par exemple ou tu mesure sur la peau et tu fais le point sur l'oeil (qui peut être noir lui ...)).
Et tu es encore sur un système de mesure amateur ... Sur un 1D MK IV tu as en plus le spot sur collimateur et le Multi spot .. Plus de possibilité offre plus de façon de procéder et de s'adapter a la situation. Pas évident au départ de comprente, ca se fait a l'utilisation ou l'on découvre petit a petit, situation par situation quel mesure il faut utiliser ...
Le fait d'avoir des 2 permet de faire une mesure centrale sans tenir compte du collimateur. Dans le cas par exemple ou tu mémorise ton expo sur un endroit avec l* et tu utilise un collimateur excentré pour FAIRE LA MESURE (Un visage par exemple ou tu mesure sur la peau et tu fais le point sur l'oeil (qui peut être noir lui ...))....Et tu utilises un collimateur excentré pour faire la mise au point tu veux dire ?
Tu fais la mémorisation d'exposition en utilisant la sélective qui ne tient pas compte du collimateur à l'endroit désiré (où tu veux faire la mesure de lumière) et ensuite à l'aide d'un collimateur excentré tu fais la mise au point sur le sujet désiré.
Ou bien encore tu as la possibilité de recadrer si tu ne veux pas utiliser un collimateur excentré. Dans ce cas, il faut veiller à ne pas enlever le doigt à mi-course du déclencheur lorsque l'on recadre et ne pas trop bouger (exemple : s'il y a un déplacement de l'avant vers l'arrière du boîtier, léger reculons de notre part) pour ne pas modifier la mise au point qui peut varier dans une telle situation surtout si la profondeur de champ est très faible (sujet rapproché, grande ouverture). Dans ce cas précis où la mise au point risque d'être foiré(profondeur de champ faible), on a toujours la possibilité de placer le sélecteur de l'objectif sur MF (manual focus/mise au point manuelle) puis d'effectuer la mesure de lumière sur un point précis de la scène, la mémoriser à l'aide de la touche * puis de recadrer tout bonnement la scène selon son goût et effectuer la mise au point manuelle (puisque déjà placé en manual focus).
Je ne sais pas ce que tu en penses, merci pour ton aide en tous les cas. L'explication est très explicite avec la photo du gamin éclairé par la game boy en lumière de fond, c'est un exemple très frappant. Les gens ne connaissant pas les modes de lumière ou tout débutant aurait tendance" à shooter en flash, en sur-exposant etc...De manière à avoir une scène globale éclairée ce que l'on ne recherche pas toujours d'ailleurs comme dans cette scène précise où l'on veut garder justement cette ambiance naturelle d'un être plongé dans le noir simplement éclairé par une source lumineuse très faible (tel un écran d'ordinateur,rétro-éclairage d'un écran LCD, bougie etc...) et les exemples n'en manquent pas. La dernière fois que j'avais voulu photographier une bougie dans une pièce sombre, j'avais utilisé un appareil compact et j'avais utilisé dans mon menu le programme "night scenery", il n'y a pas photo : Pour réussir la photo, il a tout simplement augmenté la sensibilité du capteur à 1600 iso...
Donc si l'on utilise sur un réflexe le mode de mesure : sélective ou spot pour éclairer comme dans notre exemple le visage de l'enfant seulement et que nous sommes donc en semi-automatique Tv ou Av et que l'on a la possibilité de choisir les ISO, peut-on éviter de monter très fort en sensibilité de manière à préserver la qualité de la photo (rendu de la scène).
Cordialement
Ouais j'ai corrigé, fallait lire en 2 map ...
Aucun rapport entre la monté en iso et la mesure. La mesure juste permet de mieux cerner l'optimal ouverture/ISO/Vitesse. Chaque mode a ses avantages/inconvénient sur le terrain. Travailler en spot sur du paysage par exemple est assez peut utile. La plus passe partout est l'évalutative, la plus précise est la spot. C'est une palette de mesure a dispo, avec le temps on trouve celle qu'il faut utiliser dans les situations particulière ....
Pour moi le mode de mesure a une influence sur l'ISO(cf : rien à voir) puisque suivant le mode de mesure choisi, l'expo sera différente à chaque fois.
Y'a pas de mesure manuel, y'a un mode M mais on se sert dans tous les cas d'un mode de mesure. A moins d'utilisé un posemetre ou d'utiliser la règle du F16 ...
http://35mm-compact.com/images/regle-f16.jpg
Je ne vous ai jamais parlé d'une mesure manuel ?? Je vous ai parlé du mode de mesure selon que l'appareil va analyser la lumière reçue plutôt au centre de l'image, au centre de l'image tout en tenant compte de la périphérie ou sur l'intégralité de l'image et en cela l'appareil va bien déterminer une exposition donnée et l'exposition est bien déterminée par le trio vitesse,diaphragme,iso à ce que je sache et je disais qu'en fonction du mode de mesure choisie, on aura une valeur différente de ce trio, peut-être que la valeur iso sera toujours identique et n'évolueront que les valeurs couples diaphragmes-vitesses mais peut-être que la valeur iso variera aussi, je ne sais pas, il faudrait faire un test pour s'en rendre compte.
Mais je ne vois pas pourquoi vous m'avez parlé de mesure manuel alors qu'il n'en a jamais été évoqué une seule fois dans ma question ??
Par contre, votre schéma me plaît bien et vous savez pourquoi, parce que c'est le schéma que l'on trouvait à l'intérieur des pellicules photos 24x36 et autres formats d'ailleurs, on le trouvait imprimé à même l'emballage carton de la pellicule sur le dos de languette...Je m'en souviendrais toujours...
Et tiens sur les réflex argentiques, il y avait ces modes de mesures que l'on trouve sur les réflex numériques. Je ne peux pas savoir car à l'époque de l'argentique, j'avais un bon compact nikon 24X36.
attention, je n'ai pas parlé du mode M (manuel) où vous faites tous les réglages vous-même. J'ai parlé du mode de mesure de la lumière (évaluative,sélective,spot,moyenne à prépondérance centrale...)
Bonjour,
> Oui, même en mode M, l'appareil donne des indications d'expositions lorsque vous appuyer à mi-course sur le déclencheur donc que les modes de mesures sont toujours actifs, être en mode manuel M c'est régler par soi-même les paramètres du triangle diaphragme-vitesse-iso dans sa totalité alors que les autres modes sont dit semi-automatiques car l'on décide d'un paramètre sur trois pour que l'appareil détermine le reste...Mais la question n'était pas vraiment-là, il était sur le fait que le mode de mesure(évaluative ou matricielle,sélective, spot, moyenne à prépondérance centrale) influe ou non sur la sensibilité ISO que l'appareil va déterminer lors de l'exposition, le + simple consistant à réaliser une expérience sur la flamme d'une bougie, on choisit d'effectuer constamment la mise au point sur la flamme tout en choisissant divers mode de mesure successifs et voir si la sensibilité ISO retenue par l'appareil sera ou non identique. Mais peut-être que Fredo n'avait pas compris ma question, je ne sais pas. En tous les cas, l'explication avec la photo en appui a été décisif dans ma compréhension des divers modes de mesures à utiliser ici & là, merci Fredo le modérateur
La mesure d'exposition permet d'optimiser le trio diaphragme-vitesse-iso (fredo) et moi j'ai dis que la mesure d'exposition détermine le trio diaphragme-vitesse-iso ce qui est différent dans la formulation. En fait, Fredo dit que cela optimise, donc que cela améliore et que c'est un peu l'eau que l'on apporte au moulin à vent alors que ma conception perso est que la mesure d'exposition détermine et non optimise le trio diaphragme-vitesse-iso, déterminer cela signifie que c'est grâce à cet outil que va l'appareil choisir le réglage d'ensemble "diaphragme,vitesse,iso" le plus approprié.
Maintenant je ne suis technicien dans le monde de la photographie, c'est juste mon opinion, maintenant peut-être que je me trompe, peut-être que j'ai raison. Je pense que c'est aux experts canon(technicien et ingénieur) de nous expliquer exactement comment s'établit le processus exact dans un schéma simpliste d'analyse fonctionnelle du système.
Cordialement
Dans tous les cas (Enfin pour moi) le photographe contrôle a minima 1 point tu trios (Ouverture, vitesse, iso). L’influence du choix de la mesure est influencé par le type de photo que l'on veut prendre et l'écriture de la lumière que l'on veut avoir et les conditions de prise de vue. La mesure en elle même n'est pas toujours la bonne non plus, influence de la couleur de la zone mesurée fait que l'on doit aussi compensé la mesure (Voir le tuto de brice ...)
Les isos, AUTO donc, ne sont-ils pas par défaut à la valeur la + faible possible ???
Pour ma part, j'ai toujours vu les isos auto grimpés indépendamment du mode de mesure, dés que la vitesse mini est atteinte en rapport avec la focale utilisée pour le mode AV et dés que l'ouverture maxi de l'objectif est atteinte en mode Tv ...
Je ne vois pas bien ou le mode de mesure intervient dans le choix des isos ?
J'ai compris ce que tu veux dire oeildetaup : Oui en effet, iso en automatique, c'est à dire que c'est l'appareil qui va décider de l'iso.
Donc quand tu es en mode Av(aperture value), tu as pour seul réglage possible l'ouverture, ok, maintenant il faut déterminer les conditions photographiques : On est dans l'obscurité(sombre) et l'on veut éclairer la flamme d'une bougie, on aura tendance à ouvrir le diaphragme plutôt que de le fermer et l'appareil va déterminer une vitesse minimale de façon à imprégner le capteur et ce en rapport avec la focale utilisée et si en fonction de l'ouverture déterminée par nos soins, la vitesse minimale n'est pas assez suffisante pour imprégner correctement le capteur, il va augmenter les isos...Oui cela me semble correcte. Oui tu as sûrement raison, l'appareil ne va bouger les isos qu'en dernier ressort lorsque les limites de réglages sont atteintes...Pour ce qui de la vitesse minimale en fonction de la focale utilisée, je dirais humm...L'expérience montre que l'appareil descend bien en deçà des limites...Avec un 50mm, normalement on ne devrai pas descendre à main levé plus que : 1/50e de seconde et pourtant il n'hésite quand je suis en Av (priorité diaphragme) mais bon cela prouve tout de même que l'appareil va d'abord vouloir aller au max sur les réglages de vitesse ou diaphragme dont il lui est laissé le soin et la charge d'opérer et ce n'est qu'ensuite lorsque ces limites sont atteintes qu'il va bel et bien s'attaquer sur les ISO...Oui, merci, pour le déclic, je m'en suis aperçu quand j'ai fais le test en réglage "priorité ouverture" sur une petite lampiote, oui j'ai vu la vitesse descendre bien en deçà de la vitesse limite en fonction de la focale utilisée et l'iso indiquée était de 800 iso à peu près, il aurait très bien pu mettre une vitesse un peu plus élevée et augmenter la sensibilité ISO ce qu'il n'a pas fait, tu as bien raison, les valeurs iso sont les plus faibles par défaut et ce n'est pas une priorité de l'appareil. Merci pour le déblocage de la situation. Donc Fredo a raison, la sensibilité ISO est indépendante du mode de mesure choisi.
Alors puique j'ai tort sur un point, est-ce que je peux dire tout de même que le mode de mesure de la lumière va conditionner le couple vitesse-diaphragme au moins si il n'a aucune incidence sur la sensibilité ISO.
Merci
Une expo est un trio Ouverture/Vitesse/ISO. La mesure de lumière fait en sorte que l'ensemble commun du trio soit donne une expo moyenne par rapport a un gris. L'expo moyenne n'est pas obligatoirement la meilleur pour certaine situation (Eglise, ambiance sombre), et faussé aussi par rapport au décalage de la cible par rapport au gris ...
Pour rappel le tuto de Brice :
[AIDE] Comprendre le fonctionnement de la cellule d'exposition
Définition de l'exposition
C'est la quantité de lumière reçue par le capteur. Elle est dépendante de la triade vitesse/diaphragme/ISO. Une bonne exposition est celle qui permet de rendre correctement une scène. Le problème, c'est que l'oeil a une dynamique (la capacité à rendre les nuances) qui est bien supérieure à celle d'un capteur numérique... Il faut donc connaitre le fonctionnement d'une cellule d'exposition pour l'anticiper et la corriger si nécessaire.
Rappel des modes de mesures
Evaluative [(●)] : Cette mesure prend en compte la totalité de l'image au moyen d'un catalogue de clichés intégrés dans la mémoire du boitier. La cellule compare la situation actuelle avec une situation similaire de la base de donnée et en déduit les réglages d'exposition mais un poids plus important est accordé au collimateur actif dans le calcul. C'est le seul mode qui conserve la mesure lors du recadrage en gardant le déclencheur à mi-course.
Selective [( )] : Cette mesure ne prend en compte que la partie centrale du viseur. Mémorisation obligatoire lors d'un décadrage par la touche *.
Spot [ ● ] : Cette mesure ne prend en compte qu'une zone très restreinte au centre du viseur (quelques %). Mémorisation obligatoire lors d'un décadrage par la touche *.
Pondérée [__] : Cette mesure accorde plus de poids au centre de l'image, et fait la moyenne avec l'ensemble de l'image. Mémorisation obligatoire lors d'un décadrage par la touche *.
Le mode de calcul de la cellule d'exposition
La cellule d'exposition, quelque soit le mode choisi (evaluative, selective, spot ou pondérée), est "stupide"... Elle calcule les paramètres d'exposition (tous, certains ou aucun en fonction des modes utilisés : mode scène, P, AV, Tv, ou M) pour que la "luminosité" de la photo soit la même que le fameux "gris 18%", qu'on retrouve sur les chartes de mesure, que l'on peut acheter dans le commerce.
Ainsi, une zone très blanche sur laquelle on fait la mesure, sera interprétée comme une zone grise très très très éclairée. En conséquence, la mesure étant trompée, elle tentera de corriger une fausse impression, cette zone sera rendue grise sur le cliché, donc sous-exposée.
Au contraire, une zone très sombre sur laquelle on fait la mesure, sera interprétée comme une zone grise très très très peu éclairée. En conséquence, la mesure étant trompée, elle tentera de corriger une fausse impression, cette zone sera rendue grise sur le cliché, donc sur-exposée.
C'est ainsi qu'il faut faire une correction d'exposition positive (donc sur-exposer par rapport au calcul) quand on fait la mesure sur un mur blanc en plein soleil ou sur un paysage de neige. A l'inverse, il faudra corriger négativement (donc sous exposer), une photo en fin de soirée, si l'on ne veut pas avoir l'impression qu'elle a été prise en plein après-midi.
On prendra donc garde à ne pas placer le collimateur actif n'importe où, même (et surtout !) en mesure évaluative, ou alors à faire une correction adaptée, voire les deux ! Exemple, sur un sujet en t-shirt blanc, on aura intérêt même en évaluative à faire la mesure avec le collimateur actif sur le visage de personne, et même à appliquer une correction pouvant aller jusqu'à 1 IL (prise en compte de l'ensemble de la photo). En mesure spot, la mesure sur le visage devrait suffire à donner une bonne exposition du cliché. Sur une photo de paysage, le collimateur en mesure évaluative aura tout intérêt à ne pas être placé dans une zone à l'ombre, sinon le reste de la photo risque d'être sur-exposé, etc...
La quantité de correction dépend de la cellule (le "calage" de la mesure peut être différent selon les boitiers) et du risque que l'on consent à courir (risque de crâmage des blancs). Dans le cas d'une robe de mariée en plein soleil, on évitera d'aller trop loin si on ne connait pas bien la limite de son matériel par exemple (instants à ne pas rater). Dans le cas d'un paysage, on aura le loisir de faire sa mesure à différents endroits et avec différentes corrections afin de comprendre les réactions de la cellule et de trouver la bonne exposition.
A noter que le crâmage des hautes lumières (on parle parfois de hautes lumières "percées") se détecte ou sur l'histogramme (histogramme tassé à droite) ou grâce au clignotement des zones sur-exposées sur l'écran au dos du boitier (fonction désactivable, vérifiez votre paramétrage).
Évidemment, la correction d'exposition ne s'entend qu'en P, Av, et Tv (symbole Av +/- sur le boitier ou la roue codeuse des boitiers experts). En mode M, l'exposition sera réglée manuellement, mais le barre-graphe dans le viseur rendra compte de l'écart entre l'exposition selon les choix du photographe et le calcul de la cellule : la correction à appliquer se fera donc en diminuant/augmentant vitesse, ISO, ou diaphragme.
"Sur certaines photos, je n'arrive pas à obtenir une bonne exposition. Il y a des zones bouchées ou alors des zones crâmées. Comment obtenir un cliché où tout est correctement exposé ?"
C'est difficile. La situation décrite correspond à un écart entre hautes lumières et basses lumières qui dépasse la dynamique du capteur (cas par exemple d'une photo en sous-bois avec des percées de lumière ou du plus classique contre jour). Si on expose correctement les ombres, les hautes lumières seront crâmées. Si on expose pour les hautes lumières, les ombres seront sans détails.
Dans cette situation, photographier en RAW est un énorme avantage, vu le nombre d'informations stockées dans ce type de fichier (beaucoup plus que dans un JPG). Il sera donc beaucoup plus facile à travailler.
1er solution : le HDR (High Dynamic Range). En résumé, prendre plusieurs clichés avec des expositions différentes, afin d'enregistrer par exemple 1 cliché pour les hautes lumières (avec donc la mesure d'exposition faite sur cette zone), 1 cliché pour les tons moyens, et 1 cliché pour les ombres. Fusionnés au moyen d'un logiciel (Photomatix, EasyHDR, mais aussi au moyen de calques sous Gimp ou Photoshop), ces clichés permettent d'étendre la dynamique et produisent une photo que le boitier aurait été incapable de capturer en une seule fois. Attention, les 3 clichés ne doivent différer que par leur exposition (pas de sujet en mouvement, cadrage strictement identique) et nécessitent donc l'emploi d'un trépied.
2e solution : le "pseudo-HDR". Ici, on s'attache à remplir au maximum l'histogramme (des tons sombres aux hautes lumières), afin d'optimiser la dynamique du capteur sur un seul cliché. On remonte ensuite les ombres et on assombrit les hautes lumières lors du développement du RAW, format obligatoire pour utiliser cette technique. Avantage : 1 seul cliché, photographier un sujet en mouvement est donc possible, pas de trépied, mais la dynamique finale est évidemment inférieure au résultat de la fusion de 3 clichés et la remontée des ombres en post-traitement rend le bruit numérique plus visible. Faibles ISOs très recommandés !
3e solution : le flash ou toute autre source d'appoint (comme un réflecteur par exemple). On réduit ainsi l'écart de luminosité entre avant-plan et arrière plan, et tous les tons de la photo sont cette fois saisis grâce à la dynamique du capteur. C'est le fameux "débouchage des ombres" ou "fill-in". Pour l'utiliser, mode Av (qui pose pour l'arrière plan) + flash (qui exposera pour l'avant-plan). Évidemment, pour utiliser cette technique, il faut que le sujet soit à portée de flash, ce qui exclut les paysages, par exemple.
"J'ai réglé la correction d'exposition à +1 sur l'écran, mais dans le viseur, le barre-graphe ne rend pas compte de cette correction."
Attention de bien avoir réglé la fonction Av +/- et pas la fonction +/- ! La correction d'expo flash induit une sur-exposition ou une sous-exposition de l'éclair, mais ne modifie pas les calculs de l'exposition faits par la cellule. Il existe sur certains modèles de boitier un rappel au moyen d'une icône dans le viseur, qui indique que la correction d'expo flash est non nulle.
Par contre, n'utilisez JAMAIS la fonction "correction automatique de luminosité" !! Cette béquille triture votre photo et corrige à votre insu vos erreurs d'exposition. Très bien me direz vous ! Sauf que ce faisant, il est impossible de comprendre comment l'exposition est gérée par la cellule, et qu'évidemment, cette correction a des limites, et en particulier la montée du bruit, qui arrive très très vite, dans les zones sous-exposées, mais corrigées par le boitier. Il convient donc de la desactiver, de savoir pourquoi la photo est sous-exposée, et de corriger en conséquence. J'ajoute que pour ceux qui utilisent le format RAW, le JPG affiché au dos du boitier tient compte de cette correction et vous risquez de prendre pour "bien exposée" une photo qui est mal exposée. Or cette correction ne se voit et ne s'utilise que dans Digital Photo Professional (on peut toutefois la décocher à la demande si vous l'avez paramétrée sur le boitier), et les autres dérawtiseurs n'en tiennent pas du tout compte ! Vous vous retrouvez donc avec une photo sous-exposée (ce qu'elle est à l'origine) alors que l'histogramme au dos du boitier était apparemment correct.
Merci pour ce rappel de cours très bien fait d'ailleurs : Oui, je l'avais déjà lu mais merci de le rappeler, un rappel n'est jamais inutile :
Donc si je comprends bien, quand on vise un carré blanc, il aura tendance à sous-exposer et quand on vise un carré noir, il aura tendance à sur-exposer. Il le fait toujours dans une exagération et bien sûr, si l'on vise il aura tendance à ne rien s'il a la chance de correspondre à ce fameux gris 18% apparemment.
Et c'est aussi la raison pour laquelle j'avais vu sur un autre site qu'un photographe disait ne pas préférer "la matricielle ou l'évaluative" pour la simple raison que si la map était faite à un endroit non désiré comme un coin blanc par exemple alors que la majorité de la photo est d'un ensemble de couleur noir alors celle-ci aura tendance à être sous-exposée.
Il faut lire : "Si on vise un carré gris, il aura tendance à ne rien faire si celui-ci correspond à un gris 18%" . Je me suis relu et j'ai vu que j'ai oublié "carré gris".
Merci de votre compréhension.
Tout dépend du type de précision que l'on veut avoir, Le blanc trompe la cellule, le noir trompe la cellule. C'est pour cela que l'on a la possibilité de décaler l'exposition ... L'évaluative sur un seul collimateur permet de restreindre le problème, le problème de la mesure aléatoire est lorsque l'on travail en collimateur auto... En multi spot sur un 1d on peut travailler encore d'une façon différence en faisant une mesure spot a plusieurs endroit, la mesure étant une moyenne de l'ensemble des spots fait ...