et les mêmes doutes
Sur les causes sans doute, de toute façon a ce niveau on atteins une belle complexité que l'excellent site de P Toscani ne fait qu'aborder succinctement.
Sur les resultats et c'est ce qui est important, la je n'en ai aucun. Même si c'est chiant a faire, c'est minutieux, les faire correctement apporte un gain sensible avec certaines optiques, avec d'autres leur imprecision ou leur manque de piqué natif va faire que c'est une histoire de violon et de petite commission

- superposition décalée des 2 images du colimateur ?
La je ne te suis pas

De mémoire pour un colimateur 5,6 seul le faisceau lumineux correspondant à un diaphragme de 5,6 penêtre dans le systéme optique du colimateur donc les trajets lumineux devraient ne pas être différents suivant les focales.
La non plus, pas tout compris ce que tu voulait dire. Les problemes de collimateur fonctionnant qu'a une ouverture donnée n'est qu'un problème de géométrie des angles y rentrant et la forme et définition de la cellule AF. Tu n'a pas de capteur af 5.6, 4, 2.8 ou autre, tu a des capteurs fonctionnant a des valeurs inférieure a 5.6... etc

Moi à priori je parie sur le fait que le gain du système de MAP varie d'un objectif à l'autre et que ça peut influencer légèrement la correction
Si tu parle de gain dans le vrai sens du terme cela joue sur la rapidité et l'amortissement de la boucle de régulation donc uniquement en aiservo, pas la precision en régime statique.

il y a d'abord une position de microréglage valable tous objectifs puis une position par objectif pour une vingtaine pour pinailler
Théoriquement effectivement le global ne concernerait que le boitier, dans la réalité la dispersion suivant les optiques est assez grandes, sur le mk3 qui est le pire de tous je doit avoir des réglages a +10 -2 avec toutes les valeurs intermédiaires ( le premier etait pire), sur le 7D c'est plutot 5 points de moins en moyenne, le 50 idem.