Citation Envoyé par daniel25000 Voir le message
Bruno Tondellie Merci
oui j'ai constaté exactement le même phénomène que je n'avais pas à l'époque de l'argentique...

Gparedes; la plupart du temps je me mets en mode lumière K ou AWB, mais malgré tout cela reste difficile à gérer...

Je vais tester le RAW dès le prochain concert, le 5D je l'ai que depuis décembre, donc pas encore eu le temps de me familiariser avec... Je me suis aperçu que le 7D avait un meilleur équilibre avec les ciels nuageux gris, que le 5D ... Donc j'en ai encore à apprendre...
AWB (automatic white balance) n'est pas le bon choix dans ce cas, car comme dit plus haut, l'appareil n'a pas de référence de blanc. Il va donc "reconstituer" un spectre. S'il y a une dominante apparente, l'appareil va la corriger.
Il faut donc
- soit travailler entre 4000 et 6000 °K, ce qui correspond à une lumière du jour pas trop bleutée. Vers les 4000K, on se rapproche de la lumière artificielle, à 5400K, c'est la lumière du jour. L'appareil va donc rendre les dominantes correctement (un peu moins jaune plus on descend en °K, plus jaune vers les 6000 °K)
- soit choisir une balance des blancs définie.

Le numérique n'a évidemment rien à voir avec l'argentique dans ce cas puisque la pellicule couleur est étalonnée pour un type de lumière. Lumière du jour ou lumière artificielle. Les corrections devant se faire par un filtre sur l'objectif.

En numérique, le fichier RAW ne change pas en fonction du type de lumière. Les préférences d'enregistrement jpeg proposent différents profils (nuageux, tungstène, etc.) qui vont filtrer le RAW après coup. On peut donc revenir ne arrière en retraitant le RAW.

J'ajouterais que le réglage de la température couleur (°K) ne permet de changer que dans 2 directions alors que le réglage en post-prod permet de régler dans toutes les directions du spectre.