Quand j'expliquais ça à ma nièce, qui débutait, je prenais l'image de la baignoire que l'on remplit avec un robinet. La baignoire c'est le capteur (ou la pellicule), qui doit recevoir une certaine quantité V de lumière (= eau) pour être bien exposé. On peut :
- Ouvrir plus ou moins fort le robinet pour en changer le débit : c'est le diaphgrame (ou l'ouverture)
- Attendre plus ou moins longtemps avant d'arrêtere le robinet (c'est la vitesse)
- Utiliser un seau pour rajouter de l'eau (c'est le flash)
- "Tricher" en changeant la quantité d'eau requise ou la taille de la baignoire (c'est les ISO)

L'analogie est assez bonne, car le capteur est composé d'une multitude de mini-baignoires, des puits à lumière en fait, que les photons (des particules qui composent la lumière) viennent frapper. En fonction du nombre de photons qui tombent dans chaque puit, on a un pixel plus ou moins lumineux en sortie.