Citation Envoyé par sawachiez Voir le message
SRT100...
...J'avoue n'avoir pas saisi a 100% tes affirmations sur l'instant T a une ouverture données.
Ce n'est pas de l'instant "T" dans ce cas. Il s'agit de la luminosité réelle de l'objectif exprimée par la letttre "T" sur le barillet de l'objectif.


Explication:

L'ouverture du diaphragme exprimée en "F" est le rapport entre la focale et le diamètre de la lentille à la hauteur du diaphragme.
Exemple:
- un 50mm à F4 donne une ouverte physique de 12,5 mm.
- un 500mm à F4 donne une ouverture physique de 125 mm.

Pour un même diaph, l'ouverture physique est différente selon la focale.
Tout se complique avec les zooms dont les formules optiques font varier ces calculs.
C'est l'APN qui va fournir dans les exifs l'ouverture estimée qui n'est plus réelle comme sur une optique fixe.

L'ouverture du diaph exprimée en "T" est l'ouverture réelle, c'est la lumière transmise par l'objectif.
Ce qui permet lors de l'utilisation d'une cellule à main de reporter la mesure de la cellule sur l'objectif. C'est une mesure universelle.
Exemple: là, à l'instant, j'ouvre ma Lunasix, il fait assez sombre,
- en lumière incidente, j'obtiens 9 1/2 EV ou LW, soit 1/3e sec. à F2,8 pour 100 ISO
- en lumière réfléchie à travers la fenêtre: 14 2/3 EV ou LW, soit 1/80e sec. à F2,8 pour 100 ISO.

Si je refais la mesure avec mon 7D+100 L:
- impossible en lumière incidente;
- 1/45e à F2,8 pour 100 ISO;

Si je refais la mesure avec mon 7D+11-16:
- impossible en lumière incidente;
- 1/50e à F2,8 pour 100 ISO;

Tu piges la complexité de la mesure de la lumière?

In fine, c'est toujours la cellule à main qui a raison.

Citation Envoyé par sawachiez Voir le message
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Pour imager mon propo, une photo difficile d'un ciel nuageux laiteux avec peu de contraste , aura un meilleur rendu sur le g7x .( plus de micro contraste sans traitement )...
C'est le cas typique.
En renforçant la saturation, la netteté et le contraste le rendu te "semblera" meilleur. Tout est question de point de vue. Ce n'est pas nécessairement vrai.
La poésie d'une image ne tient pas que dans le trio saturation, netteté, contraste.

Je suis assez... perplexe, face à cette habitude de sur-saturer les images.

Les visages de Rubens, les paysages de Vermeer sont-ils saturés à ce point?

A contrario, les appartement d'aujourd'hui sont systématiquement repeints en blanc.

Le quidam a-t-il encore la capacité d'apprécier les nuances?