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21/05/2014, 23h55 #81
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On est tout à fait dans la même logique.
Le resto qui fait son plat du jour à 10€, il ne gagne rien ou pas grand chose. Tout dépend du nombre et de ce qu'il y a dans l'assiette. La semaine dernière, j'étais dans un très bon resto à Strasbourg qui faisait de la dorade à 11€ à midi. Si le client prend la carafe d'eau, c'est la cata pour le chiffre d'affaire.
C'est pareil pour la photo. Si le client prend le basique, il n'y a rien à gagner. Si par contre le client prend les options, ça change tout.
Malheureusement, aujourd'hui, le client s'est éduqué. Il connait les bons plans. Il achète les promos, les soldes, les offres temporaires, les billets à bas coût, les ventes rapides, etc. Cela devient de plus en plus difficile de lui faire payer les options.
Pour les reportages de mariage, les mariés font généralement coup double. D'une part les photos du photographe et de l'autre, le bonus, les photos des invités. Ca fait généralement quelques centaines d'images dont il reste généralement quelque chose. Tout le monde ne fait pas des photos moches.
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22/05/2014, 10h08 #82
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Mes photos publiées
On est bien d'accord mais il ne faut pas prendre tout ce que Roignant raconte au pied de la lettre. Il s'agit d'un exemple et d'estimations, il s'agit du résonnement à avoir (ou du moins en partie) pour fixer ses tarifs et surtout d'un exemple qui prouve bien que les photographes de mariages ne s'en mettent pas pleins la poche comme le pensent les profanes. Il est bien sûr presque impossible de savoir le nombre de minutes exactes qu'on peut passer à traiter des photos et à répondre aux mails des clients, l'important, c'est d'avoir une estimation afin de ne pas être totalement à côté de la plaque. Et le temps passé à la prospection est important et doit être tenu en compte.
Il est un fait que le prix réel d'un bien est celui que l'acheteur est prêt à payer pour l'acquérir. Mais c'est seulement ce qui va déterminer si au final ce produit va être proposé ou pas. Les industriels ne se contentent pas évidemment de calculer le coût de production du bien. Une fois ce coût calculé, il doivent se demander si le client sera prêt à payer le prix calculé. Si la réponse est non, ils vont revoir le procédé de fabrication et les composants pour faire baisser le coût de fabrication au maximum, au risque que le produit soit de mauvaise qualité. Si malgré cela, le coût de production est trop élevé par rapport au prix acceptable par le client, ils doivent se demander si, malgré tout, ils peuvent y gagner quelque chose d'une façon ou du autre. S'ils sont vraiment perdants, ils n'ont aucun intérêt à proposer ce produit.
C'est la même chose pour les photographes. S'ils n'arrivent pas à vendre leurs prestations aux tarifs qu'ils ont déterminés, ils vont devoir baisser la qualité de leurs prestations pour pouvoir proposer des prix plus bas sans (trop) perdre de plumes ou abandonner. On en revient à la problématique dont j'ai parlé plus tôt dans la discussion : au final, à cause du fait que le prix que les mariés sont prêts à payer est trop bas, il y a nivellement vers le bas de la qualité générale des prestations des photographes de mariage.
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22/05/2014, 12h20 #83
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Mes photos publiées
C'est tout le soucis de la profession. Le numérique a ouvert les vannes d'une photo en quantité. La quantité de photo produite proposée au mariée à EXPLOSER, le nombre de photographe aussi. Le temps passé a aussi explosé pour les photographes, avant nettement moins de temps passé, prise de vue, tirage, composition de l'album + quelques cadres en grande taille, et surtout beaucoup moins de photo prise (Max 250/300 en argentique). Maintenant les mariés s'attendent a 1000 Photos livrés, voir plus dans certaines prestation. Sur 10 heures de prises de vue, 1000 Photos, c'est 100 Photos de l'heure, on arrive presque a 2 photos a la minute. Perso je sais pas faire, il me faut un poil plus de temps pour composer ma photo, j'aime bien regarder les situations, rechercher la lumière, la compo avant de mettre l'oeil dans l'oeilton pour réaliser la photo.
Avec ce manque de méthode clair que les prestations sont tirés par le bas, que les coûts de production explose (Temps passés a faire le tris, à traiter les raws), usure rapide du matériel (a 2000 Photos le mariage, tu flingue un 5D MK IIII en 100 mariages, les objectifs s'usent aussi, les flashs pareils). Le gars qui utilise du matériel sérieux (5d MK III, 24-70 L, 135 f2, 16-35 L) doit renouveler très vite son sac (A chaque saison en gros) si il ne veut pas perdre trop d'argent, et doit avoir obligatoirement une solution de spare (Une panne est toujours possible en situation). En la jouant finement sur le renouvellement il doit investir 1500 € chaque année, ou passer sur une gamme d'objectif et de boitier moins cher (Toujours possible).
L'autre soucis c'est comme c'est de l'abattage, la qualité n'est plus la. Et le photographe n'est pas en condition de s'améliorer niveau qualité par manque de temps quand il est dans le mitraillage, et au fil de la saison de mariage ça va pas s'arranger. Sur les 12 Semaines d'activité forte il va décroître en qualité.
Ce que perso je pense, c'est qu'il est possible de baisser le prix de la prestation, mais ça sera a condition que la prestation soit dans son exécution raisonnable, que le gars qui est derrière le boitier arrête d'avoir le déclencheur en mode rafale, prenne plus de temps pour faire les photos. Ca passe par des contrats précis sur ce qui va être réalisé, nombre de photo mini et maxi remis en final, nombres et format des tirages remis, et les options possibles avec un coût prédéterminé. La qualité du travail permet de vendre les options, si la prestation de départ est bien faite et vendu a un prix raisonnable, les mariés ou leur famille peuvent après coup faire augmenter le CA et la marge, mais c'est possible que si le travail de prise de vue est BON !
En final ce sont les photographes qui doivent aussi évoluer dans le bon sens. Prix raisonnable ne signifie pas faire n'importe quoi. Je pense qu'on peut faire une prestation mariage a un prix acceptable par les mariés a condition de ne pas faire n'importe quoi. Ca passe aussi par quelques contraintes pour les mariés, on ne peut pas réaliser de bonne photos sans un minimum de participation des couples. On ne réalise pas les photos de couples a l'arraché, après la cérémonie quand ils ont plus la tête a fêter ca avec leur invités, surtout si c'est en plein cagnard avec une lumière énorme et dur ...
En final un bon pro, c'est le gars qui sait proposer une bonne prestation et qui sait la réaliser dans de bonne condition, dans un tarif correct. Après le coté artistique c'est autre chose. Mais déjà avoir un gars qui est apte a sortir des photos un jour de pluie dans une église sombre, sans pourrir toute la cérémonie et sans que le curé se fache c'est quand même mieux...
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22/05/2014, 12h52 #84
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Je suis d'accord avec toi, j'aime aussi prendre mon temps pour composer mes photos et choisir le bon moment pour déclencher.
Cependant, pour des photos sur des êtres humains, il vaut mieux multiplier les prises de vue si on veut éviter d'avoir les yeux fermés, des grimaces, un souci de mise au point, etc… D'autant plus lorsque le nombre de personnes sur la photo est important.
Donc j'ai maintenant pris l'habitude de faire des rafales en portrait posé lorsque je veux assurer (surtout pour les photos de groupe) et de refaire dans le même temps plusieurs fois la mise au point (que ce soit en manuel ou en utilisant l'AF). Je ne retiens ensuite sur l'ordinateur que les meilleures photos (tri sévère). Ca n'empêche pas d'avoir pris du temps à composer/cadrer avant de déclencher mais au final, le nombre de clics augmente vite avec cette méthode !
Après, n'étant pas un fanatique de la rafale, ça m'arrive encore souvent de ne prendre qu'une seule photo et de me retrouver avec les yeux fermés.
Dans l'absolu, c'est vrai que l'idéal serait de déclencher pile au bon moment mais je trouve que ce n'est pas simple d'avoir systématiquement les yeux ouverts, le clignement des paupières va très vite !
Tu me diras que cette possibilité de multiplications des clichés était bien plus réduite du temps de l'argentique et c'est vrai ! Après, il restait aussi d'autant moins de photos au final (était-ce un mal finalement ? sans doute pas sauf dans certains cas).
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22/05/2014, 14h07 #85
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Ca me rappelle des albums que je faisais avec UNE photo par page et quelque fois même des double-pages. UNE photo mais une BONNE!
Qualité vs quantité...
Je regarde le très bel album du mariage de ma nièce en Provence, l'été dernier (fait par une photographe pro de Draguignan), très beau boulot mais beaucoup trop de redondance. La même scène 3, 4, 5 fois de suite. Inutile.
A trop vouloir montrer, on fatigue le lecteur qui n'arrive plus au bout de l'album.
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22/05/2014, 14h13 #86
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Heureux de te lire. On s'est finalement compris.
Etant très libéral, je considère que les lois du marché font leur travail. Les meilleurs émergent toujours et obtiennent les meilleurs rendement, en général.
Et les moins bons disparaissent.
Les dinosaures n'ont pas su s'adapter aux évolutions climatologiques.
Le photo n'est qu'un art graphique parmi les autres. On peut faire le même constat chez les graphistes, infographistes, peintres, illustrateurs, typographes, etc, etc.
Tous ces métiers sont touchés de la même façon par l'accessibilité de la technologie à tous par les ordinateurs, tablettes, APN, logiciels, etc.
Et par la même évolution mentale du client qui a beaucoup plus d'offres donc plus de choix.
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22/05/2014, 14h23 #87
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Oui, tu as raison.
Mais à ce niveau-là, c'est surtout une question de choix.
Qu'on ait 10 bonnes photos de la même scène en stock car on a voulu assurer n'empêche pas d'en sélectionner une seule au final !
Ceci étant, c'est vrai que c'est souvent compliqué de choisir entre différentes bonnes photos cadrées différemment : il y a redondance si on en sélectionne trop mais chacune prise à part a un intérêt. Certaines personnes arrivent mieux à faire ce travail de tri que d'autres.
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22/05/2014, 14h30 #88
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C'est aussi le talent du photographe que de savoir choisir la meilleure et de la mettre en plus grand.
C'est comme un plat gastro et un mezze sur la table. Tu vois ce que je veux dire? J'adore le mezze mais aucun de ces plats isolé ne ferait se déplacer un gastronome.
C'est ce que je fais dans mes albums muraux. Sur une série d'images, j'en choisi 1, 2 ou 0. Et je l'imprime en grand. Je peux la mettre sous cadre au mur ou la mettre dans ma galerie. Les spectateurs seront impressionnés. Si j'en mets 25 bonnes en vrac, plus personne ne fera attention.
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22/05/2014, 14h42 #89
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Certes mais bien souvent, les personnes extérieures arrivent mieux à faire ce travail que le photographe qui a pris les photos car elles ont plus de recul et sont plus "détachées" en terme d'affectif. La difficulté qu'a représenté la prise de vue est également occultée par les personnes extérieures alors que cela peut altérer le jugement du photographe.
C'est très souvent arrivé que des oeuvres mises de côté par des artistes soient mises en lumière par des tiers.
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22/05/2014, 15h33 #90
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Tu es encore trop jeune pour avoir du recul Max. Mais clair que j'adhère a ce que dit STR. Il faut une juste raison dans les albums, pas besoin de mettre 3 fois la même chose. Trop de choix tue le choix. Et c'est aussi un paradoxe, on a des images hyper fournis en numérique, et on fait des albums avec des tonnes de photos en PETIT ! Un album de mariage, ou de naissance y'a pas de raison d'avoir 300 Photos dedans ni qu'il fasse 50 pages. 20, 25 pages sont amplement suffisant et plus pertinent, avec a minima 5 ou 6 photos pleine pages.
Si y'a trop de photos, on le survole. Si il est restreint on s'y attarde a regarder chaque photo, et les photos elles marquent ... On travail le souvenir, c'est pas une banque d'image ...
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22/05/2014, 18h12 #91
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Je ne sais pas si je suis trop jeune mais je suis entièrement d'accord avec toi, notamment sur l'aspect de redondance.
Je faisais juste la remarque que c'est souvent plus facile pour des personnes extérieures de choisir les meilleures photos que pour leur auteur.
Ceci étant, c'est vrai que le fait de savoir bien sélectionner et mettre en valeur son travail est une qualité très importante.
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23/05/2014, 10h31 #92
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Il m'arrive de demander un avis sur un travail que j'ai réalisé. Mais cet avis est généralement une simple confirmation de mes choix.
Tout simplement parce que les personnes autour de soi n'ont pas le même niveau de jugement.
Pour beaucoup de gens, les 20 meilleurs de The Voice sont tous d'excellents chanteurs mais pourraient-ils extraire LE meilleur.
C'est en général un directeur artistique qui va faire ce choix pour des tas de critères imperceptibles au commun des mortels.
Un de mes profs (ça se passe vers 1973-74) nous analysait les images en cachant certains petits détails avec des petits bouts de papier déchiré pour mettre en évidence l'importance de ces détails. "Voooouuuus voyez!" disait-il en glissant le petit bout de papier sur le détail.
C'est là qu'on apprend la précision d'un cadrage, l'importance d'une petite tache de couleur, d'un petit élément qui fait d'une image normale une bonne image. Essayez, vous verrez. C'est vrai pour tous les arts graphiques.
A force de procéder ainsi on se forme (ou se déforme) l'œil à ne voir que les défauts. A force d'éliminer les défauts...
Enfin, cette démarche devient naturelle, inconsciente. Le choix en devient plus aisé.
J'applique cette technique pour mes tris d'images.
Je fais généralement trois groupes.
Je jette d'abord les images ratées.
Je classe ensuite les images dans trois dossiers: les meilleures, les bonnes et les moyennes.
Ces deux dernières ne serviront qu'en cas de problème ou de manque.
C'est avec les meilleures que je ferai l'album. Soit généralement moins du tiers de l'ensemble des images prises.
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23/05/2014, 11h01 #93
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Je sous-entendais évidemment que la personne extérieure soit compétente/experte dans le domaine en question (avec un bon "oeil"/jugement artistiquement parlant).
Je ne parle évidemment pas de l'avis de "Tâta Ginette" !
Sinon, si on se base sur les messages genre "whaoouh, trop belle photo" postés sur les réseaux sociaux, c'est sûr qu'on n'est pas sorti de l'auberge…
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23/05/2014, 11h17 #94
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On oublie souvent que la photo est un art figuratif.
Le sujet est l'élément qui prend le dessus sur tout autre. On parlera de "très beau coucher de soleil", "très jolie fille", "paysage paradisiaque", etc.
Dans le cas du mariage: "très belle robe", "un bien joli couple", "elle a l'air heureuse".
Tout ça c'est bien.
Mais le top, c'est d'ajouter à cela la réalisation d'une belle image. Sublimer le sujet.
C'est là qu'on distinguera le photographe qui sort de l'ordinaire.
Le passage de la technique à l'art. De la simple représentation à l'émotion.
Et on en revient au début. Recevra-t-on de l'émotion pour pas cher?
Est-ce que le photographe qui fait dans l'alimentaire pour boucler ses fins de mois peut être suffisamment disponible pour le faire?
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